In Questi giorniassistiamo molti atti di violenza cha hanno cause differenti. Alcune violente manifestazioni non sono altro che risposte immediate alle provocazioni che certa stampa ha fatto pubblicando le caricature di Maometto, profeta dell'Islam. Stupisce in questo XXI secolo, apprendere che queste provocatorie pubblicazioni sono giustificate "nel nome della libertà d' espressione".
Mi sembra un utilizzo forzato di libertà di espressione perchè, secondo me, la libertà di espressione non ha nulla a che fare com la "libertà di prendere in giro gli altri". La libertà di espressione non vuol dire "libertà di offendere gli altri", al punto di ferirli nel proprio intimo.
Si, il sentimento religioso delle persone e delle communità del mondo musulmano è profondamente offeso per queste pubblicazioni.
Noi non dobbiamo sottostimare "l'amore e il rispetto" che i musulmani hanno per il loro profeta Maometto. E' un punto di riferimento molto importante e quindi non possono ammettere che sia disprezzato o ridicolizzato .
Libertà d'espressione, si ! Ma una libertà d' espressione unilaterale, applicata senza il rispetto dell'altro, o meglio, senza il rispetto reciproco non è altro che un uso abusivo del senso e del contenuto della parola libertà.
La stessa laicità deve presupporre il rispetto reciproco. L'offesa verso una bandiera nazionale, non importa di quale paese piccolo o grande che sia, non é inammissibile?
E allora perché non dare a Dio/ Allah, alla Bibbia/ Corano, agli Inviati di Dio riconosciuti dalle varie religioni, ai simboli religiosi..., la stessa considerazione attribuita ai simboli laici ?
Tutte le satire dei simboli religiosi che rompe l'armonia e la concordia tra le società e le religioni è da deplorare, e che gli autori siano condannati!
Penso che sia il momento che le differenti culture e gruppi delle società trovino dei limiti alla pretesa di fare della libertà un' assoluto.
Che tutti coloro che leggono questa riflessione possano risvegliare la propria sensibilità. Le vostre reazioni non violente siano le benvenute !
Djibuti - Les caricatures de Mohamed, prophete de l’Islam
Ces jours, Nous sommes entrain de vivre tant d’événements de violences qui proviennent de différentes sources et causes. Certaines violentes manifestations ne sont que « effets et réponses immédiats » aux provocations suscitées par certaines publications, des caricatures de Mohamed, Prophète de l’Islam.
En ce 21 ème siècle, il est Etonnant d’apprendre que telles publications provocatrices sont justifiées « au nom de la Liberté de l’expression ».
Il me semble une utilisation abusive de la liberté de l’expression, car à mon avis, la liberté de l’expression n’est pas l’égal de la « liberté de se moquer des autres ». La liberté de l’expression ne veut pas dire la « liberté d’offenser les autres » au point de les blesser dans leur « fort intérieur ».
Oui, le sentiment religieux des personnes et des communautés du monde musulman a été profondément offensé par certaines publications. Nous ne devons pas sous-estimer « l’amour et le respect » que les Musulmans ont pour leur Prophète Mohamad. Il est une référence très importante pour eux et donc, ils ne peuvent pas admettre qu’Il soit méprisé ou ridiculisé.
Une liberté de l’expression unilatéralement appliquée sans le « respect de l’autre, au mieux, sans le « respect mutuel » s’appellerait « usage abusif du sens et du contenu du mot LIBERTE ».
La laïcité même doit supposer d’abord le « respect mutuel ». L’offense au drapeau national de n’importe quel pays, si petit ou si grand qu’il soit est inadmissible, n’est-ce pas ? Et pourquoi n’est pas donner « à Dieu – Allah, à la Bible et au Coran, aux envoyés de Dieu reconnus par différentes religions, aux symboles religieux… », la Considération attribuée aux symboles des institutions laïques ?
Toute sature des symboles religieux, qui brise l’harmonie et la concorde parmi les sociétés puis les religions sont à déplorer et que soient découragés leurs auteurs.
Je pense qu’il est plus que temps que les différentes cultures et couches de la société trouvent les limites à la prétention de faire de la liberté comme un absolu.
Puisse cette réflexion provoque les sensibilités tous ceux qui la liront ! (Vos réactions sont les bienvenues).