Après un passage en revue accompagné des salutations très fraternelles, voilà tout le monde assis autour d’une table, un mot de bienvenue à l’adresse du Père Stefano sera lu par un des amis de la Paroisse Mater Dei Mr Alexis Mbala.
En réaction en ce mot, le Père Stefano a fait remarquer à l’assistance qu’il était très intéressé par son contenu et n’a pas manqué d’encourager le groupe qui continue inlassablement à entretenir la flamme de ce Mouvement que le Père Nestor et Antoine ont lancé sans espoir du lendemain meilleur au sein de la paroisse Saint MUKASA aujourd’hui cédé à l’Archidiocèse de Kinshasa.
Reconnaissant humblement que le mérite de la fondation de ce mouvement des AMC en RDC revient plutôt à ses deux confrères ci haut cités, le Père Stefano enchaîne en disant que bien que le Mouvement ait connu plusieurs départs qui n’ont du reste pas tué son esprit, on peut noter que la qualité vaut mieux que la quantité et que pour sa part il croit à un avenir rayonnant, vivant, foyer de feu, flamme brillante qui communique aux autres la lumière. Ce mot d’encouragement du Père Stefano était suivi d’un échange des nouvelles de l’IMC à travers le monde.
Tout de suite après était venu le moment essentiel de la rencontre : la célébration eucharistique présidée par le Père Stefano et toute sa suite. C’est alors que la présence de Dieu s’est faite manifester parmi nous à travers des intentions de prière dites spontanément en diverses langues les uns après les autres. Cette présence divine va se pérenniser et atteindre son paroxysme quand le corps et le sang du Christ étaient levés, une grosse pluie inattendue s’est abattue sur le lieu en signe de bénédiction, qui aussitôt avant la bénédiction finale s’arrêtât net pour laisser le beau temps poursuivre son cours normal.
Et voilà dans un élan de convivialité plus que délirante, un repas et un verre fraternels nous ont invité autour d’une table bien garnie, pour continuer à communier après le corps et le sang du Christ et vivifier l’esprit de famille.
Plus rien ne pouvait suspendre cet élan de liesse n’y été le besoin d’immortaliser le passage du Père par quelques photos de famille comme pour dire adieu. Le lieu idéal pour cet effet ne pouvait être que la pelouse bien coiffé, arrosée et verte comme un lac au couché du soleil, aménagé pour le besoin de la cause. On pouvait facilement lire dans les visages des amis les signes de la douleur de séparation.