Ce samedi 28 avril 2018, une centaine de fidèles et neuf prêtres des paroisses Italiennes de l’archidiocèse de Montréal ont assisté à une célébration pigmentée à l’église Notre-Dame de la Consolata à l’occasion de l’inauguration du nouveau siège social de la Radio Maria Montréal à la paroisse Notre-Dame de la Consolata. Cette dernière continue à se faire un nom dans l’archidiocèse. A en croire le directeur de la Radio Maria Canada, les statistiques traitées ont permis d’établir le siège social de la Radio Maria Montréal dans l’enceinte de la Paroisse de la Consolata. La célébration a débuté par une sainte Messe présidée par le père Giuseppe Fugolo, un des missionnaires Scalabrini et responsable de l’association des prêtres Italiens exerçant leur ministère à Montréal; et a été clôturée par un cocktail aux recettes et adresses incontournables d’une culture hybride Italo-Canadienne dans la grande salle située au sous-sol de l’église.
Chers lecteurs, l’honneur m’échoit sans préambule de brosser succinctement ce que l’on peut entendre par médias pour éviter toute amphibologie en vue d’une bonne compréhensibilité du terme. Par médias, nous entendons le pluriel de medium qui peut signifier milieu ou intermédiaire. Il est employé au pluriel pour désigner plusieurs supports et au singulier pour un support unique. En soi, les médias sont des outils ou moyens de communication permettant de véhiculer le message. Le choix d’un média dépend beaucoup plus du type de communication recherché. En grosso modo, personne ne peut être surprise d’appréhender qu’il existe diverses sortes des médias de masse, en l’occurrence la presse écrite (journaux, magazine, revue); livres (essais, documents, etc…); la bande dessinée, des médias électroniques (la télévision, la radio; l’internet ou Web; médias sociaux); panneau d’affichage; CD et DVD. À l’inverse, il existe des outils de communication traditionnels, notamment le tam-tam; corne de brume; le tambour; coquerico (le cri du coq) qui témoigne l’aube.
Loin de vous donner une réponse exhaustive, je me rapporte à une expression qui stipule: « à bon vin point d’enseigne ». Elle signifie littéralement « ce qui est bon se reconnait de soi-même ». Cette expression illustre le service mirobolant qu’a offert le professeur Luigi Pautasso à la communauté chrétienne au Canada. Grâce à cet immigrant Italien au Canada, Luigi Pautasso, que le service de Radio Maria a vu le jour et a commencé à émettre à Toronto en 1995 et à Montréal en 1996. Ce service est particulièrement apprécié par ceux qui veulent rester connectés à la communauté chrétienne plus large. Radio Maria est plus qu’une chaine de radio station. Elle fait partie d’une organisation à but non lucratif approuvée par le gouvernement fédéral et un organisme de bienfaisance enregistré, composé de religieux et de laïcs. Dès ses débuts, Radio Maria a, et a toujours, la mission de la Vierge Marie, Notre Mère, d'amener Jésus, le Rédempteur, au monde. Radio Maria est un instrument marial qui répond à l'appel de la Bienheureuse Vierge Marie, à travers la prière et l'enseignement de la foi catholique. Il y a un bon nombre de bénévoles qui participent activement à la mission d'évangélisation dans les studios de Radio Maria Canada. Ce sont des chrétiens qui se consacrent à la promotion de notre vie spirituelle et au salut du monde. D’après le directeur de la Radio Maria Canada, Père Charles Michael Grech, Ofm, ce n'est pas le gain personnel ou l'avancement qui motive les bénévoles, mais plutôt leur amour du Christ et de sa Mère. Quant à moi en tant qu’un des intervenants dans les émissions à la Radio Maria Montréal, j’affirme avec aplomb que les auditeurs et les bénévoles travaillent pour répondre aux besoins financiers de la station. Plus important encore, les bénévoles de Radio Maria à Montréal donnent généreusement de leur temps, de leurs talents et de leur énergie pour développer la programmation et la sensibilisation dans leurs communautés locales. Leur contribution est un ministère pour l'Église et aide à annoncer la bonne nouvelle que le Royaume de Dieu est venu.